Paris Z Week

Paris Z Week : les zombies débarquent

Il s’est passé un nombre de trucs absolument fou depuis la dernière fois que j’ai posté ici (ce qui explique pourquoi ça fait si longtemps). Je vais te raconter vite fait, mais d’abord petit moment de contentement ultime : mon bébé chéri, Paris Z Week , est sorti il y a une dizaine de jours chez Gulf Stream Editeur. Je suis toujours un peu mal à l’aise vis-à-vis de l’auto-promo (dit la meuf qui fait une danse de la joie non-stop sur Insta depuis la publication) mais comme ça m’a demandé quand même pas mal de travail #litote, que c’est un projet dans lequel je crois à fond et dans lequel j’ai investi énormément d’énergie, je me donne l’autorisation. Yolo.

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Chambre

Une chambre à soi ?

J’ai écrit le premier tome de Lola Frizmuth dans un studio de 23m2 tout à fait encombré que je partageais avec mon cher et tendre.
J’ai écrit le second tome par terre, au dernier étage de notre petite maisonnette (très) biscornue, recroquevillée dans un petit coin entre le radiateur et le canapé-lit.
J’ai écrit La légende de Lee-Roy Gordon – et tous ceux qui ont suivi – sur un vieux canapé Ikea tout raide, dans une pièce qui faisait à la fois salon et cuisine. J’en ai retiré quelques maux de dos mémorables.

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Pug

Cruel instant de lucidité

Un matin à six heures, j’ai été réveillée par une révélation. La lumière, je te jure.

Une voix céleste m’a dit : « Tu vois ce chapitre, que ça fait trois semaines que tu travailles dessus en essayant de faire en sorte qu’il tienne debout ? Oui, oui, ce fameux  chapitre que tu as relu et réécrit 100 fois sans jamais en être satisfaite… Et bien figure toi que j’ai LA solution à ton problème ! Je SAIS ce qu’il faut faire pour qu’il arrête de faire tâche dans ton histoire. »

Moi : « Quelle bonne nouvelle, Ô voix céleste ! Je t’en prie, partage donc avec moi ton secret et tire-moi ainsi de la tourmente ! »

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Ménage de pré-printemps

Je me souviens avec un gros LOL interne d’une conversation téléphonique, tenue en 2014, entre Tony et moi. Tony, c’est l’une des deux formidables personnes qui ont développé ce beau site. Fort peu au fait des insondables mystères du monde magique de l’Internet, j’étais bien en peine de fournir des réponses aux questions les plus basiques qu’il me posait concernant mes attentes.

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Goéland

Back from Fécamp

Oh my ! Enfin, je suis caley dans mon canapey ! De retour après quelques jours en terres normandes, épuisey mais combley !

Suite à la sélection de La légende de Lee-Roy Gordon au Prix des ados de Deauville, j’ai été invitée à la première édition du Salon du livre jeunesse de l’Espace culturel du Leclerc de Fécamp-Saint-Léonard. Encore une fois de belles rencontres, et un accueil très chaleureux. Outre la dynamique équipe de l’Espace culturel – que je remercie pour sa gentillesse et sa bonne humeur –  et les autres auteurs invités, j’y ai fait des drôles de rencontres… Notamment L’âne Trotro mais aussi son collègue Ego le Cachalot, qui gagne à être connu. Vous ne me croyez pas ? Preuve en image…

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Daruma 2016

Bonne année !

« On surestime toujours ce qu’on peut faire en un jour, mais sous-estime toujours ce qu’on peut faire en un an »

C’est ce que m’a un jour lancé ma divine amie Laure, qui tient le non moins divin site des Aventurières. Je ne sais pas de qui est cette citation. Il me semble qu’elle avait dit Bill Gates, mais je n’ai trouvé confirmation nulle part dans le grand royaume magique de l’Internet.

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Concert des Zombies

Ode aux Zombies

Le 27/11, les Zombies se produisaient à La Maroquinerie, dans le 20ème à Paris.

Les Zombies, c’est l’un des groupes dont j’ai cité l’une des chansons dans La légende de Lee-Roy Gordon… et le seul toujours en activité, avec deux des membres d’origine : le chanteur Colin Blunstone et Rod Argent aux claviers, également auteur-compositeur d’une bonne partie des chansons.

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Kaleidoscope

Fairfield Parlour/Kaleidoscope

Avez-vous déjà écouté une chanson avec l’impression étrange que quelque chose dans votre ventre se serrait ? Comme si ceux qui avaient composé et interprété le morceau touchaient quelque chose d’enfoui très profond en vous, sans que vous ne puissiez mettre vraiment le doigt dessus…  J’ai cité, dans « La légende de Lee-Roy Gordon » (mon dernier roman) l’extrait d’un titre de Fairfield Parlour, un groupe londonien actif de 1967 au début des années 70.

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âne

Sus à l’Âne mort!

Autant le dire, ces derniers mois j’ai été un âne mort.

Genre limite j’entendais les mouches voler autour de ma carcasse. La totalité de mon énergie a servi à lever mon pauvre corps de bon matin, à avaler un petit pain Pasquier devant un café et à affronter le métro pour accomplir mes tâches professionnelles avec la rigueur qu’elles demandent. Je suppose qu’il y a des moments comme ça, dans la life, où la créativité passe un peu à la trappe.

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Cahiers

La mystique du cahier neuf

J’adore les cahiers vierges. S’il est un type d’objet que j’achète compulsivement sans regarder à la dépense, c’est bien ça. J’en ai toujours une bonne vingtaine d’avance. Dès qu’un motif ou une texture de couverture m’interpelle, je ne peux pas m’empêcher de mettre le main au portefeuille…

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