Emoji

« Ce livre est tout pourri » ou comment gérer la critique négative

S’exposer et publier ce que l’on écrit, c’est prêter le flan à la critique. Contrairement aux antibiotiques, c’est automatique (stp, admire le combo de rimes en « ique »). Est-ce toujours agréable ? Nope. Est-ce un drame ? Nope. Tu es un.e jeune auteur.ice et tu t’es pris un scud de JeanMichel73 sur Babelio ? Ou tu n’oses pas tenter l’aventure de la publication par crainte de la critique ? Voilà comment gérer.

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Paris Z Week

Paris Z Week : les zombies débarquent

Il s’est passé un nombre de trucs absolument fou depuis la dernière fois que j’ai posté ici (ce qui explique pourquoi ça fait si longtemps). Je vais te raconter vite fait, mais d’abord petit moment de contentement ultime : mon bébé chéri, Paris Z Week , est sorti il y a une dizaine de jours chez Gulf Stream Editeur. Je suis toujours un peu mal à l’aise vis-à-vis de l’auto-promo (dit la meuf qui fait une danse de la joie non-stop sur Insta depuis la publication) mais comme ça m’a demandé quand même pas mal de travail #litote, que c’est un projet dans lequel je crois à fond et dans lequel j’ai investi énormément d’énergie, je me donne l’autorisation. Yolo.

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Point final.

Hier fut une journée historique.
Pour moi en tout cas.
J’ai enfin terminé un roman sur lequel je travaillais depuis des années. Les datations au carbone 14 mettent en évidence des traces de ce projet dès l’an de grâce 2011. Et hier, HIER, j’ai mis K.O. ce motherfucker en lui assénant un splendide point final. BIM.

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Chambre

Une chambre à soi ?

J’ai écrit le premier tome de Lola Frizmuth dans un studio de 23m2 tout à fait encombré que je partageais avec mon cher et tendre.
J’ai écrit le second tome par terre, au dernier étage de notre petite maisonnette (très) biscornue, recroquevillée dans un petit coin entre le radiateur et le canapé-lit.
J’ai écrit La légende de Lee-Roy Gordon – et tous ceux qui ont suivi – sur un vieux canapé Ikea tout raide, dans une pièce qui faisait à la fois salon et cuisine. J’en ai retiré quelques maux de dos mémorables.

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Comment on fait pour cuisiner une histoire ?

À l’occasion du salon Saint-Maur en Poche samedi dernier, j’ai eu le plaisir d’animer un atelier à destination d’un groupe d’enfants de 7 à 9 ans, en partenariat avec le Labo des histoires. L’objectif ? Leur apprendre à « cuisiner une histoire » de leur propre cru. Pour cela, j’ai bricolé un petit support ludique qui leur a servi de base pour canaliser leur imagination (ô combien débordante).

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